Il y a quelques semaines, début février, notre ami BERNARD CZECH écrivait au comité pour l’informer que son état de santé s’était aggravé et qu’il était obligé de libérer son emplacement au camp de Peissy. Avec tristesse, nous apprenons son
Il y a quelques semaines, début février, notre ami BERNARD CZECH écrivait au comité pour l’informer que son état de santé s’était aggravé et qu’il était obligé de libérer son emplacement au camp de Peissy. Avec tristesse, nous apprenons son